retour du froid et de la neige: Luc et Françoise aux commandes les samedi apm
Ce samedi 11 décembre nous sommes 1 cyclotte et 5 cyclos : Françoise P, Bernard P, Robert, Michel M, Eric C, Luc P, tous debout au départ de la place Jean Moulin et j’en dure l’autre, un record ! Bouuuuuuh pour les absents !
Nous voilà partis vers les Monts d’Or de boue. Le groupe 3 nous accompagne un bout de route. Dès le 2ième km : boum, Robert nous honore déjà d’une figure, histoire d’impressionner ses petits bouts de camarades, serait pas bourré le Robert ? Michel le sec nous avait prévu d’entrée quelques bouts de parcours bien verticaux mais Bernard le gras l’a ramené à la raison. Moins raide, le parcours Perrin mais pas moins gras, le bougre ! En tous cas Eric, dont le médecin lui avait recommandé d’éviter le gras, bout sous son casque, son vélo aussi à tel point qu’il est obligé de le jeter dans les fourrés pour ne pas se brûler. En fait, Bernard est un jaloux ; il voulait à tout prix recouvrir de boue mon tout nouveau VTT dont l’éclat l’aveuglait. Plus tard, lors d’une bonne bourre, il se fait taxer dans une pente sans fin et il prétextera qu’il ne pouvait plus passer ses 3 derniers pignons, bourre et bourre et ratatam ! Bref, les bouts de bois sont les bienvenus pour désengorger les dérailleurs, les roues…Michel a même sa roue arrière complètement bloqué, il n’en voyait plus le bout. Pour la descente du retour, j’ai pris les choses en main, sinon c’était des boutades du genre : « il se fait tard, on va rentrer par la route ». Je me gausse, pas question d’en perdre un bout de cette sortie mémorable à dormir debout. La descente c’est tout droit par le parcours de l’Octocôte, les cailloux et les marches permettront de décrasser les vélos et pas de badaboum…
Après 18 km nous sommes de retour tous debout pardon de boue avec des vélos de 18 kg, prêts à recommencer. Luc
Nous voilà partis vers les Monts d’Or de boue. Le groupe 3 nous accompagne un bout de route. Dès le 2ième km : boum, Robert nous honore déjà d’une figure, histoire d’impressionner ses petits bouts de camarades, serait pas bourré le Robert ? Michel le sec nous avait prévu d’entrée quelques bouts de parcours bien verticaux mais Bernard le gras l’a ramené à la raison. Moins raide, le parcours Perrin mais pas moins gras, le bougre ! En tous cas Eric, dont le médecin lui avait recommandé d’éviter le gras, bout sous son casque, son vélo aussi à tel point qu’il est obligé de le jeter dans les fourrés pour ne pas se brûler. En fait, Bernard est un jaloux ; il voulait à tout prix recouvrir de boue mon tout nouveau VTT dont l’éclat l’aveuglait. Plus tard, lors d’une bonne bourre, il se fait taxer dans une pente sans fin et il prétextera qu’il ne pouvait plus passer ses 3 derniers pignons, bourre et bourre et ratatam ! Bref, les bouts de bois sont les bienvenus pour désengorger les dérailleurs, les roues…Michel a même sa roue arrière complètement bloqué, il n’en voyait plus le bout. Pour la descente du retour, j’ai pris les choses en main, sinon c’était des boutades du genre : « il se fait tard, on va rentrer par la route ». Je me gausse, pas question d’en perdre un bout de cette sortie mémorable à dormir debout. La descente c’est tout droit par le parcours de l’Octocôte, les cailloux et les marches permettront de décrasser les vélos et pas de badaboum…
Après 18 km nous sommes de retour tous debout pardon de boue avec des vélos de 18 kg, prêts à recommencer. Luc
Commentaires
Enregistrer un commentaire